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jeudi 6 mars 2014

ELLE EST GONFLEE MADAME LE MINISTRE !


                      
Ce sont des gens comme Marisol Touraine qui sont responsables de l'ambiance qui règne dans notre pays. Ceux sont eux les instigateurs de la haine et de la discrimination, ils ont tout fait pour que le Français se rebelle à cause de leurs agissements qui n'ont rien de positifs pour lui, bien au contraire, aucun respect pour le Français courageux, travailleur, respectueux des lois  ! !...... 

Pour ma part, charité bien ordonnée commence par soi-même. Par ailleurs, "la France ne peut pas porter la misère humaine" dixit Michel Rocard ! Les dauphins des éléphants socialos ont le chic pour ne pas se souvenir de certaines déclarations de leurs aînés ! Remarquez bien pour ma part, la droite ne vaut guère mieux, ne rentrons nous pas dans un conflit encore interne et d'intêrets ?  
                                        Vive les scandales, vive La France !
                                              
Lorsque une député a posé ces questions à l'Assemblée, la seule réponse de la ministre concernée, Marisole Touraine, a été : " Vous êtes là pour inciter à la haine et à la discrimination ".
Quelle est votre opinion sur ce qui suit !

Q U E S T I O N S G E N A N T E S
- Où est la justice sociale quand on repousse l'âge légal de la retraite alors que tout
étranger de 65 ans n'ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à une retraite
de 780 euros par mois dès son arrivée ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la
ferme, n'a pas droit à ces 780 euros au prétexte que son mari et elle dépassent le
plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand la sécurité sociale en faillite continue de payer à l'étranger,
sans le moindre contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires disparus depuis
des lustres ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand l'Aide Médicale d'Etat soigne 220000 sans papiers
chaque année, à raison de 3500 euros par malade, alors que la sécurité sociale ne dépense « que »
1600 euros par affilié qui travaille et cotise ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand des étrangers bénéficient de la CMU et d'une mutuelle
gratuite, alors que 5 millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop riches pour
bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une ?
30% des Français ont différé leurs soins en 2011 !
 
 
 
- Où est la justice sociale quand on sait que 10 millions de fausses cartes Vitale
sont en circulation et permettent de soigner des milliers d'étrangers sous une fausse
identité, au détriment des ayant droit ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand la France entretient des milliers de polygames,
certains d'entre eux percevant plus de 10 000 euros par mois sans travailler, alors
que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le rouge ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire
pour un logement social, alors qu'un jeune couple français doit attendre sept ou huit
ans son premier logement pour avoir un enfant ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand on sait qu'un million de faux passeports, donnant
droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de passeports
biométriques soi-disant « infalsifiables » ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand un Français né à l'étranger doit prouver sa nationalité
à l'administration, ce qui se traduit souvent par un véritable parcours du combattant,
alors qu'on brade chaque année la nationalité française avec des milliers de mariages
blancs ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand on veut donner le droit de vote aux étrangers, alors
que nos élus ont confisqué aux citoyens leur « non » au référendum sur la Constitution
européenne et que des millions d'électeurs, de droite ou de gauche, ne sont pas
représentés au Parlement ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand on accueille chaque année plus de 200.000 étrangers
non qualifiés, dont notre économie n'a nul besoin, alors que la pauvreté augmente,
que nous avons près de 5 millions de sans emplois et que le chômage atteint déjà
40% chez la population immigrée ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand le contribuable finance des associations qui ne
combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti-français est
systématiquement ignoré et les plaintes classées sans suite ?
 
 
 
- Où est la justice sociale quand on condamne un journaliste pour avoir énoncé une
vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs incitant à la haine ne
sont jamais inquiétés au nom de la liberté d'expression ?
 
 
- Où est la justice sociale quand la délinquance explose et que les droits des voyous
passent avant ceux des victimes ?
 
 
Car si l'intégration a totalement échoué, c'est tout simplement parce que nos dirigeants
ont confondu anti-racisme et acceptation de l'autre, avec le renoncement à nos valeurs.
Il ne fallait rien changer au moule républicain qui a permis depuis des siècles à des
millions d'immigrés de devenir des citoyens français. Les règles d'intégration qui ont
fait leur preuve avec des générations d'immigrés, étaient la force de la République. La
faute majeure de nos élus est de les avoir ignorées.
 
 
FAITES CIRCULER CE MESSAGE , à moins que vous soyez en osmose avec tout ce qui vous entoure
                                                                                                            
 
                                                                 

9 commentaires:


  1. Dans un article du journal "Valeurs actuelles" est paru en Janvier 2014 un article intitué "Le sondage qui dérange: le racisme anti-Blanc, un tabou français".

    "C’est un pavé dans la mare du politiquement correct. Pour 47 % des Français, gauche et droite confondues, “le racisme anti-Blanc est un phénomène assez répandu en France”. Notre sondage exclusif Ifop-Valeurs actuelles révèle un mal profond, volontairement ignoré par le pouvoir, selon qui le racisme serait (forcément) à sens unique.

    «Si les électeurs de gauche se disent moins convaincus que ceux de droite, plus d’un quart d’entre eux (28 %) considère cependant ce phénomène comme “assez répandu”, ce qui est loin d’être négligeable», relève Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’Ifop. Une proportion qui atteint même… 44 % chez les sympathisants du Front de gauche de Jean-Luc Mélenchon — alors même que celui-ci est, sur cette question, dans le déni le plus total!

    Pour une écrasante majorité d’électeurs de droite (66 %), le racisme anti-Blanc est en revanche “assez répandu”. « Plus on est de droite, plus on le pense» poursuit Jérôme Fourquet.. Mais, là encore, l’idéologie n’explique pas tout. S’ajoute une adhésion sociologique. C’est en effet à droite de l’échiquier politique que se trouvent les catégories de la population se considérant comme les plus touchées par ce phénomène : artisans et commerçants (50 %), employés (51 %) et ouvriers (55 %).

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  2. Un autre article du même hebdomadaire ajoute en Février 2014:

    "Dans "Jusqu’ici tout va mal" la journaliste Cécile Amar révèle, à force d’anecdotes, de confidences — dont la plupart sont recueillies auprès du chef de l’État — et de récits, l’incroyable cynisme de Hollande. «Perdre les ouvriers, ce n’est pas grave», aurait-il ainsi avoué au moment de l’affaire Florange, alors même qu’il s’était rendu en février 2012 devant les salariés pour leur promettre que le site ne fermerait pas. «Oui, il y a du cynisme dans sa pratique de la politique. Comme il y en a eu dans sa campagne quand il a fait des promesses auxquelles il ne croyait pas» explique ainsi Cécile Amar.

    «Il est insaisissable, confie encore son fils Thomas. Quand on est dans une pièce avec lui, on ne sait jamais par quelle porte il va sortir». Personne, à vrai dire, ne comprend cette faculté présidentielle à mentir de manière éhontée. Bernard Poignant, par exemple, est très proche de François Hollande. Le maire de Quimper s’est vu attribuer un bureau, à l’Élysée, juste au-dessus de celui du président de la République. De ce “pigeonnier”, il appelle les parlementaires socialistes, les invite à déjeuner, et rédige des notes blanches pour son vieil ami, avant de reprendre le train, tous les mercredis, pour la préfecture du Finistère. A la fin de l’année 2013, fidèle à son exercice qui consiste à rapporter au président ce que pense “le pays réel”, il avertit François Hollande du reproche qu’il entend le plus souvent : « Dans nos régions on nous traite de menteurs, sur les marchés on ne nous parle que de mensonge et nous n’avons rien à répondre à ceux qui nous interpellent.. »

    Quelques jours plus tard, il trouve une enveloppe présidentielle sur son bureau. François Hollande lui rappelle ce que François Mitterrand répétait inlassablement à ses conseillers : «Un homme prestigieux a le droit de mentir, il n’a pas le droit d’être vaincu» (sic!!!) C’est donc délibérément que le président de la République se moque comme d’une guigne de la vérité. En matière économique, c’est devenu une habitude. Le premier gros mensonge de François Hollande a porté, durant sa campagne, sur la renégociation du pacte budgétaire européen conclu entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Le candidat socialiste avait promis à ses troupes qu’il exigerait de la chancelière allemande de profondes modifications de ce texte afin d’y ajouter des mesures volontaristes portant sur une relance de la demande. Pas une virgule, pourtant, n’a été changée. Seules des annexes sans aucune valeur juridique ont été rajoutées pour faire plaisir à Hollande. Ce qui n’a pas empêché le chef de l’État de répéter pendant plusieurs semaines qu’il avait «entièrement renégocié ce pacte» et «fait plier l’Allemagne».."

    Et ainsi de suite!..


    Amitiés, ma chère Mireille .."Quand ça va mal, on se réconforte à l'idée que ça pourrait toujours être pire. Et quand ça le devient, on reprend espoir à la pensée que ça va si mal que ça ne peut que s'améliorer.." (Malcom Forbes)


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  3. La " seule solution " serait une coalition, mais le monde politique toutes tendances confondues n'y est pas prêt et c'est, à mon avis, bien dommage.
    Très bonne soirée.

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  4. Bonjour Mireille, Lisa, Ada. Nous ne pouvons hélas que subir, les dirigeants sont aveuglés par les "échéances" (les leurs) et il vaut mieux caresser les futurs électeurs, les trublions, et autres associations, que de se préoccuper de ceux qui fidèles, honnêtes, amoureux de leur pays, jusqu'au sacrifice... supporterons tout et même plus sans brocher culpabiliser jusqu'à la moindre pensée qui ne serait pas dans l'air du temps.

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  5. Coucou aimable amis, je rentre de ma garde nuit qui fut sereine ! Merci Lisa pour vos compléments d'informations toujours très intéressants. On croit rêver quand on les lit ! quel respect pour notre pays ! !

    Eh oui ma chère Chantal, c'est une réalité, nos associations bien "pensantes" font beaucoup de mal en voulant faire "cette charité tartuffe" au détriment de ceux et celles qui ont fait et font la vraie France. Comme je l'ai écrit à notre amie Myo il faut résister..... Il est certainement plus glorieux de faire le bien chez le voisin que chez soi ou dans sa propre famille !

    Cher Ada, une coalition ? Mais, avec les gugus qui jouent comme des "gamins" dans une cours de récréation pour savoir qui sera "le gendarme ou le voleur "c'est innimaginable. Tant que la République là existera, notre mal-être persistera ! Il nous faut un autre régime avec à la tête une personne qui ne pensera qu'au bien être de son peuple et de son pays, tel un Louis IX , un Louis XI ou un Henri IV ! L'orgueil et la cupidité de toute cette clique nous démolissent !.... La révolution française n'a rien vraiment changé, la République fait bien pire, c'est une république de Tartuffes, aucune dignité, aucun honneur ! N'oublions pas que le communisme ne fait plus recette alors la République quel avenir peut-elle encore avoir chez nous, elle s'affaiblit un peu chaque jour ? ! L'article que nous a joint Lisa dit bien que le peuple souffre et n'est pas dupe. Attendons, la roue tourne, nous ne serons peut-être pas les acteurs et les spectateurs du grand changement, mais il aura lieu, non sans casser des oeufs hélas ! Toutefois, nous pouvons à notre niveau poser quelques fondations en défendant nos valeurs auprès de ceux que nous croisons, il faut résister.... Il faut que cela fasse effet papillon ! J'ajoute que nous ne sommes pas simplement tributaires de ces gens là mais aussi d'un système, d'un engrenage très sournois qui est aux mains des puissances financières !
    Très bonne journée à tous et merci pour le débat.

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  6. On peut toujours rêver à un autre régime. Vous avez raison de considérer tout l'ensemble de la classe politique actuelle comme peu sérieuse, j'y ajouterai les journalistes qui ne sont pour moi que des fouilles-caca. Les rois que vous citez sont des exemples mais aussi des exceptions, on pourrait en citer d'autres qui n'ont pas eu la même honnêteté. Il n' y a, malheureusement, aucun exemple dans le monde à ce jour de régime satisfaisant. A défaut de mieux soyons pratiques et non fatalistes en faisant à notre modeste échelle ce que nous pensons être le bien.
    Très bonne journée, chère amie.

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  7. par Jacques PETIT, RETRAITE CHRONIQUEUR
    14.11.10

    Je suis un très piètre chanteur, mais je me souviens parfaitement ma Maman qui chantait merveilleusement bien, enchaîner ce refrain, avec l'air qui convient, qui en fait toute sa légèreté et son impertinence :

    — C'n'était pas la peine,

    — C'n'était pas la peine

    — non pas la peine, assurément,

    — de changer de Gouvernement.

    Déjà, je crois entendre certains de nos humoristes à la radio, à la télévision, dans leurs shows reprendre ce refrain très connu de nos grands-mères, qui avait tant de succès, car empreint d'un ton de gentille moquerie , nos chères grands-mères avaient un tantinet l'audace de considérer les « affaires de gouvernement » comme un « passe-temps » pour les politiciens et n'y attachaient que peu d'intérêts ; elles étaient par contre très intéressées par le mariage de Clairette, fille de Madame Angot, élevée par les Dames de la Halle, qui devait se marier avec Pomponnet, le perruquier qui est amoureux d'elle. Mais Clairette n'est pas insensible au charme d'Ange Pitou, un chansonnier qui a l'habitude d'aller en prison pour les chansons qu'il écrit.

    Cet Opéra Comique très célèbre conserve une certaine fraîcheur, après, le « Dallas » interminable, entre le Dandy de la Sarthe et l'Aventurier de Valenciennes, il est certain que le conformisme, la mine bien rasée, avec une touche de fantaisie avec ses chaussettes rouges, emportait les suffrages des mamans qui avaient une fille à marier, par contre l'Aventurier de Valenciennes, à la chevelure ébouriffée, plus à sa place dans un « Opéra-Rock », ralliait le regard de toutes les groupies enclines à le sacrer « Rocker de Valenciennes », mais le Petit Prince, sans doute influencée par Carla choisit le très rigoriste Dandy de la Sarthe.

    Les Palais de la République ne vont pas être très effrayés par les impertinences de François qui n'a qu'un rapport lointain avec François Villon un poète plus subversif de bien des années avant.

    Des musiques de Chopin, de Schubert, de Schuhmann, vont faire valser ces Dames, là il faut convenir que François Fillon enlaçant Mme Alliot-Marie enchanterait les chaumières de la France Profonde, mais il faut également reconnaître que le rocker de Valenciennes entraînant Rama Yade dans un rock effréné aurait eu de la gueule !

    Même aujourd'hui en 2O1O, au siècle du TGV en tout, dans les mariages, dans les affaires, dans la vie courante, aux communications si aisées entre Rio de Janeiro et Darwin en Australie, nous restons un peu sur notre faim de tant de lenteur, de tant de cafouillage dans la communication, de tant d'improvisations dans le livret du nouvel Opéra Comique, parolier Nicolas Sarkozy, pour entrer, en fin de compte, parfaitement, dans les paroles du refrain :

    Nicolas est roi, François est son roitelet (ma rime en eine est gâchée, tant pis)

    C'n'était pas la peine,

    C'n'était pas la peine,

    Non pas la peine, assurément

    De changer de Gouvernement.

    Je vous joints ce texte d'un journaliste du "Monde" ce quatrain est l’œuvre de l'arrière arrière Grand-père de mon époux, on peut constater qu'il n'y à rien de changé... Et ce n'est pas une excuse, il nous faut du courage et de l’opiniâtreté, mais il faut à tout prix les chasser de notre paysage. Bien sûre le journaliste fait référence ici au gouvernement précédant, mais tout compte fait je trouve que c'est phrase s'accorde mieux avec le gouvernement actuelle, et là la rime en "eine" et mieux respectée.

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  8. Cette dame est actuellement sur RTL pour essayer de défendre la restriction de circulation.

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    1. Mon cher ami JB Ada bonjour, effectivement je l'écoute, je ne suis pas certaine qu'elle soit convaincante ! Avec cette clique ce sont des demi-mesures et surtout c'est embêté le monde ! Je suis curieuse de savoir comment feront les provinciaux qui montent à la capitale ? Certains sont-ils obligés de différer leur déplacement ? Bonne journée.

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