Bien chers pèlerins notre dernière station est à Malcôte dans le Doubs pour rendre grâce à Notre Dame du Chêne.
Cécile, fille de Pierre-Antoine Mille et de Biaise Pointurier naquit le 16 octobre 1789. Sa mère mourut le 16 septembre 1803, un mois après la découverte de la statue. Son père en 1812, à l'âge de 50 ans. En 1813, elle épousa Jean-Claude Journet. Ils vinrent s'installer dans une ferme qui dépendait de la commune de Cléron, aux Granges Martin, de l'autre côté de la rivière. Ils eurent plusieurs enfants : Joseph, Jeanne, Françoise, Claude, Pierrette.
Par sa simplicité, sa bonté, son courage devant les difficultés, Cécile faisait l'admiration de tous ceux qui la connaissaient. Elle aimait parler de Marie à ses enfants. Elle leur disait « Ne sortez jamais sans avoir votre chapelet pour le dire le long du chemin... Que je serais heureuse si vous pouviez faire votre première communion comme j'ai fait la mienne. J'ai été bien favorisée, ce jour-là».
Cécile mourut le 13 juillet 1835 ; elle ne put donc témoigner à la commission d'enquête de 1844 qui le déplora vivement. Elle fut enterrée au cimetière de Cléron ; vous verrez sa tombe à la porte de l'église et à l'ombre du célèbre château.
LE 3 AVRIL 1803
Il n'y avait pas eu de première communion à la paroisse de Scey-en-Varais, dont dépendaient Maisières et la Malcôte, depuis les jours sombres de la Révolution française. Le matin du 3 avril 1803, pour participer à cette cérémonie, Cécile Mille, âgée de 13 ans et demi, s'en allait à l'église paroissiale avec une compagne.
« Quand nous descendions le chemin de la Malcôte », a-t-elle raconté, «j'ai vu une belle grande dame habillée de blanc, accompagnée de quatre petites demoiselles aussi vêtues de blanc, portant chacune un cierge allumé. Cette belle dame a continué sa marche jusqu'au « chêne de Notre-Dame » où elle s'est arrêtée comme pour nous attendre. Au moment de notre passage devant l'arbre, elle s'est élevée au milieu d'une vive lumière... Jusque là, je n'avais pas peur. Je pensais que c'était sans doute des dames d'Ornans qui faisaient une petite procession. Mais, après la disparition, j'ai eu peur... Nous nous sommes mises à courir jusqu'à la première maison de Maisières, chez M. Verny, à qui j'ai dit tout ce qui venait de se passer... ».
Personne ne voulut croire au récit de Cécile ni dans la paroisse ni dans sa famille. Elle avait beau répéter dans son patois : « Cou qui est vra, quement l'est vra que lou chau baille » (C'est vrai, aussi vrai que le soleil brille), son père Pierre-Antoine, un brave fermier-vigneron de la Malcôte, lui répondait de « laisser ses inventions ». Pourtant, la suite des événements va le faire changer d'avis.
Litanies de Notre-Dame du Chêne
Oraison
Cécile mourut le 13 juillet 1835 ; elle ne put donc témoigner à la commission d'enquête de 1844 qui le déplora vivement. Elle fut enterrée au cimetière de Cléron ; vous verrez sa tombe à la porte de l'église et à l'ombre du célèbre château.
LE 3 AVRIL 1803
Il n'y avait pas eu de première communion à la paroisse de Scey-en-Varais, dont dépendaient Maisières et la Malcôte, depuis les jours sombres de la Révolution française. Le matin du 3 avril 1803, pour participer à cette cérémonie, Cécile Mille, âgée de 13 ans et demi, s'en allait à l'église paroissiale avec une compagne.
« Quand nous descendions le chemin de la Malcôte », a-t-elle raconté, «j'ai vu une belle grande dame habillée de blanc, accompagnée de quatre petites demoiselles aussi vêtues de blanc, portant chacune un cierge allumé. Cette belle dame a continué sa marche jusqu'au « chêne de Notre-Dame » où elle s'est arrêtée comme pour nous attendre. Au moment de notre passage devant l'arbre, elle s'est élevée au milieu d'une vive lumière... Jusque là, je n'avais pas peur. Je pensais que c'était sans doute des dames d'Ornans qui faisaient une petite procession. Mais, après la disparition, j'ai eu peur... Nous nous sommes mises à courir jusqu'à la première maison de Maisières, chez M. Verny, à qui j'ai dit tout ce qui venait de se passer... ».
Personne ne voulut croire au récit de Cécile ni dans la paroisse ni dans sa famille. Elle avait beau répéter dans son patois : « Cou qui est vra, quement l'est vra que lou chau baille » (C'est vrai, aussi vrai que le soleil brille), son père Pierre-Antoine, un brave fermier-vigneron de la Malcôte, lui répondait de « laisser ses inventions ». Pourtant, la suite des événements va le faire changer d'avis.
Notre Dame du Chêne
LE 15 AOUT 1803
De bonne heure, le matin de la fête de l'Assomption de Marie, Pierre-Antoine Mille s'en allait à la messe avec ses filles Simone, Marguerite et Cécile. Un ami, Louis Seure, originaire de la Vieille Loye (Jura) les accompagnait ; colporteur et vannier, celui-ci passait quelques jours dans la famille pour préparer les paniers et les hottes de la prochaine vendange. Comme ils arrivaient au vieux chêne du bord de la route que la tradition appelait « le chêne de Notre Dame », Marguerite raconta ce qu'avait vu Cécile, au jour de sa première communion. En levant les yeux vers l'arbre, tous sont stupéfaits de voir deux belles lumières qui semblent jaillir du tronc, à la hauteur des premières branches. Ils voudraient s'attarder, mais il est l'heure de la messe. A la sortie de l'office, la nouvelle se répand, une procession s'organise et on revient au chêne. Après un moment de chants et de prières, Pierre-Antoine et son ami creusent le tronc de l'arbre à l'endroit qui avait été indiqué par les lumières. Ils découvrent une petite statue de la Vierge Marie. Longtemps auparavant, quelqu'un l'avait glissée dans une cavité de l'arbre ; celui-ci en grandissant s'était refermé sur son trésor. On en avait perdu le souvenir ; mais on continuait de parler du « chêne de Notre Dame ».
LE 15 AOUT 1803
De bonne heure, le matin de la fête de l'Assomption de Marie, Pierre-Antoine Mille s'en allait à la messe avec ses filles Simone, Marguerite et Cécile. Un ami, Louis Seure, originaire de la Vieille Loye (Jura) les accompagnait ; colporteur et vannier, celui-ci passait quelques jours dans la famille pour préparer les paniers et les hottes de la prochaine vendange. Comme ils arrivaient au vieux chêne du bord de la route que la tradition appelait « le chêne de Notre Dame », Marguerite raconta ce qu'avait vu Cécile, au jour de sa première communion. En levant les yeux vers l'arbre, tous sont stupéfaits de voir deux belles lumières qui semblent jaillir du tronc, à la hauteur des premières branches. Ils voudraient s'attarder, mais il est l'heure de la messe. A la sortie de l'office, la nouvelle se répand, une procession s'organise et on revient au chêne. Après un moment de chants et de prières, Pierre-Antoine et son ami creusent le tronc de l'arbre à l'endroit qui avait été indiqué par les lumières. Ils découvrent une petite statue de la Vierge Marie. Longtemps auparavant, quelqu'un l'avait glissée dans une cavité de l'arbre ; celui-ci en grandissant s'était refermé sur son trésor. On en avait perdu le souvenir ; mais on continuait de parler du « chêne de Notre Dame ».
Notre-Dame du Chêne au Diocèse de Besançon - Témoignage du 1803
de la Malcôte, près d'Ornans (Doubs)
Seigneur, ayez pitié de nous.
Jésus-Christ, ayez pitié de nous.
Seigneur, ayez pitié de nous.
Jésus, écoutez-nous.
Jésus, exaucez-nous.
Père Céleste, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Fils, Rédempteur du monde, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Esprit-Saint, qui êtes Dieu, ayez pitié de nous.
Trinité sainte, qui êtes un seul Dieu, ayez pitié de nous.
Notre-Dame du Chêne, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, qui Vous êtes révélée à nous par des apparitions miraculeuses, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, Vierge très humble, si longtemps cachée dans le chêne de Grand-Champ, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, dont la douce image s'est montrée dans les branches d'un arbre séculaire, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, dont la bonté se signale toujours par les plus précieuses faveurs, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, qui avez fixé votre demeure dans la vallée pour y répandre Vos Dons Maternels, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, gloire éclatante de la contrée, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, protectrice Toute-Puissante, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, asile ouvert à tous les malheureux,priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, Mère de la Sainte Espérance, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, doux repos de l'âme affligée, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, espoir des âmes abattues, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, asile assuré durant la tempête, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, amie des humbles de cœur, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, arme de victoire, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, échelle mystérieuse, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, aimant des cœurs, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, Mère de Miséricorde, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, Fontaine de Grâces, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, Refuge des pécheurs, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, Salut des infirmes, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, paix et lien des familles, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, joie et douceur de notre exil, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, délice des cœurs purs, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, Voie qui conduit à Jésus, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, Mère toute dévouée à ceux qui Vous implorent, priez pour nous.
Notre-Dame du Chêne, qu'on n'invoque jamais en vain, priez pour nous.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, pardonnez-nous, Seigneur.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, exaucez-nous, Seigneur.
Agneau de Dieu, qui effacez les péchés du monde, ayez pitié de nous, Seigneur.
Priez pour nous, Ô Notre-Dame du Chêne,
Afin que nous devenions dignes des promesses de Jésus-Christ.
Ô douce Vierge du Chêne, qui avez choisi la forêt de Grand-Champ pour théâtre de Vos merveilles, faites qu'en ces lieux bénis nous trouvions Grâces et Salut. Découvrez à nos âmes le prix de l'humilité, afin que, à Votre exemple, nous aimions à vivre cachés en Dieu ; et, puisque les pauvres et les humbles attirent plus particulièrement Vos regards, mettez en nous les dispositions qui Vous plaisent, afin que nous ayons part à Vos faveurs. Nous Vous bénissons, Ô Divine Mère, et nous Vous offrons le tribut de nos louanges et de notre amour, à Vous, si Bonne, si Puissante et si digne d'être la Souveraine et Bien-Aimée Reine de la terre et des Cieux. Ainsi soit-il.
Voilà chers amis pèlerins nous avons achevé ce cheminement vers les lieux des apparitions de
Notre Sainte Mère Marie, Reine de France
Toutefois, je me dois de vous informer, que parmi tous ces lieux d'apparitions dont nous avons découverts ou redécouverts, certains hélas ne sont pas reconnus par l'Eglise mais juste tolérés.
Sur les 23 lieux visités, 7 sont reconnus.
L'église est très prudente et ne fait une enquête que plusieurs années après la fin des apparitions. La reconnaissance dépend beaucoup de l'évêque du lieu. le Pape Paul VI abolit le canon 1399 qui interdisait les publications au sujet des nouvelles apparitions (14.10.1966)
Cependant, Marie transmet toujours les mêmes messages ! La conversion, la Prière, le Rosaire, la Pénitence........
Sur les 23 lieux visités, 7 sont reconnus.
L'église est très prudente et ne fait une enquête que plusieurs années après la fin des apparitions. La reconnaissance dépend beaucoup de l'évêque du lieu. le Pape Paul VI abolit le canon 1399 qui interdisait les publications au sujet des nouvelles apparitions (14.10.1966)
Cependant, Marie transmet toujours les mêmes messages ! La conversion, la Prière, le Rosaire, la Pénitence........
Cette dernière étapes ne dément aucunes autres les pas de nôtre chère Mère nous guident et nous emmène vers la paix et le bonheur d'une vie simple et pieuse.
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